ISATHERA

blog de recherche emploi de Josiane Soleilamethyste

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Lieu : liège, Belgium

vendredi, février 24, 2006

Emotions...







Emotions? que faut il faire de ses émotions?? texte perso:


Dans notre société actuelle, les émotions sont tantôt interdites,
tabous, refoulées, cachées tantôt recherchées à l'excès, exagérées,
adulées.
Comme dans d'autres domaines, la relation juste à nos émotions
n'est probablement à chercher ni dans le refoulement ni dans le
défoulement.
Les émotions sont diverses et variées et acquérir les mots pour
les dire est déjà un premier pas vers leur libération.
Joie, colère, tristesse, peur, excitation, impatience, ennui,vidée,
calme, plénitude, amour, jalousie, amoureux, haine, partagé, etc...
les mots sont à chercher et à réinventer sans cesse pour approcher,
connaître , exprimer et apprivoiser nos émotions.



Les émotions peuvent être classées en positives et négatives. Les
émotions appartenant au registre de la personnalité ( corps astral)
et les émotions positives au registre de l'individualité ( corps
boudhique).

Certaines personnes sont "bloquées" dans leurs émotions .
Elles n'arrivent plus à les contacter , les ressentir pour différentes
raisons. Il n'est pas toujours intéressant de contacter ses émotions
dans toutes les circonstances. Cependant , un "stockage"
d'émotions négatives finit par "pollluer" jusqu'à le corps physique
pouvant occasionner des maladies.


Ce stockage peut aussi handicaper la personne en la limitant dans
un registre de comportements qui tend justement à éviter la
résurgence des émotions négatives craintes.
Il peut dès lors devenir utile dans un cadre thérapeutique
(par exemple) sécurisant de recontacter ces émotions afin de
progressivement nettoyer un corps astral encombré, afin de
remonter à la source d'une difficulté et provoquer une
reprogrammation positive voire un comportement plus adapté
dégagé des affects négatifs.
Tout peut se vivre pour autant de trouver la bonne façon.
Les émotions ont leurs raisons d'être et nous renseignent sur
une situation de danger ou d'épanouissement intérieure ou extérieure.
Se couper systématiquement de ses émotions est sans doute
tout aussi nuisible que de s'y complaire constamment.
L'équilibre se trouve sans doute dans la perception intérieure
juste de celles ci et dans leur gestion en bonne intelligence en
fonction aussi des circonstances.
Nier ses émotions peut aussi être à l'origine de dépression voire
de troubles psychiques divers, les recontacter pour les apprivoiser
et les transformer est sans doute la clé d'un chemin de guérison.

Josiane Soleilamethyste.

Cet (extrait d') article est tiré du magazine électronique " La lettre du psy" Volume 2, No 7: Juillet 1998

Nous avons constamment des émotions, comme nous avons constamment des sensations.
Le film m'ennuie et mon ami de coeur m'attend pour dîner. La décision est facile à prendre:
je quitte le cinéma et j'accours chez lui. Mon enfant est malade, je suis inquiète.
Malgré mon immense fatigue, je suis d'accord pour les nuits blanches qu'il m'impose.
Voilà deux décisions prises à partir de l'information fournie par mes émotions.
La plupart des émotions passent ainsi, presqu' inaperçues, car elles ne nous posent pas
de problème. C'est lorsqu'elles nous dérangent que nous nous objectons et que nous
tentons de les arrêter ou de les transformer artificiellement. Pourtant, qu'elles nous
dérangent ou non, elles jouent le même rôle.
1- Un système d'information L'article de Jean Garneau, "
À quoi servent les émotions" est très éloquent sur leur rôle
ainsi que sur les dangers de les éliminer de notre vie. Rappelons seulement que les
émotions sont aussi importantes pour diriger notre vie psychique que les sensations
au plan physique. Elles nous informent du fait que nous sommes "atteints" par les choses.
Leur intensité nous indique combien "fort" nous sommes atteints. Elle est donc révélatrice
du degré d'importance. Si un geste, un événement nous atteint, c'est qu'il a une résonnance en nous. Il nous
renvoie à un vécu qui a une signification subjective. Ainsi nous pouvons dire que ce qui
nous touche correspond à un besoin en nous. Il peut s'agir d'un besoin plus ou moins grand,
mais ce qui est certain, c'est qu'il est suffisamment important pour que nous soyons ainsi
remués. Par exemple, mon employeur annonce une mise à pied prochaine.Comme je viens
de gagner le gros lot à la loto, ça ne m'affecte aucunement. Mais si je n'ai pas gagné
la loto et que par ailleurs je viens d'acheter une maison, je me ferai sans doute du
mauvais sang. Dans le deuxième cas, mon équilibre, du point de vue sécurité est menacé.
La situation éveille mon besoin actuel de sécurité. Le besoin révélé par une émotion est
toujours un besoin présent, comme c'est le cas pour les sensations. Les sensations sont ressenties elles aussi dans le présent et nous informent sur la situation
présente. Chacune d'entre elles peut être considérée comme nous donnant le pouls sur un
aspect de notre état physique du moment. Je vois un trou sur la chaussée, j'allonge le pas
pour l'enjamber. J'ai un inconfort au dos, je change de position. J'ai l'estomac qui
gargouille, je sais que j'ai faim. Je sens que je perds l'équilibre, j'essaie de le rattraper
par divers mouvements. Tout comme nous avons plusieurs types de sensations qui nous
renseignent sur différents aspects de la réalité (vue, ouïe, odorat, toucher, goût,
mouvement) nous avons divers types d'émotions qui fournissent de l'information spécifique.
Ainsi, la tristesse révèle un manque, l'impatience informe du fait que ce que nous faisons
présentement n'a pas de sens, la colère surgit lorsque nous rencontrons un obstacle à
notre satisfaction, etc... Les émotions surviennent à l'occasion d'un contact avec le monde extérieur mais elles
peuvent aussi être suscitées par ce qui se passe en nous. Par la seule pensée, nous
pouvons déclencher une émotion. Un souvenir ravive ma nostalgie. Constater que je
reproduis le même comportement me décourage. L'idée qu'il pourrait se choquer m'affole.
L'anticipation de sa présence m'excite. Nous pouvons aussi avoir des émotions à partir de
nos sensations. Ma douleur m'exaspère. Je deviens affolée en perdant le souffle. Les
symptômes de mon angoisse me font paniquer. Qu'elle provienne de nos pensées ou d'un événement extérieur, l'émotion a toujours la
même fonction: elle nous informe. Ce n'est pas parce que nous n'aimons pas le message
qu'elle nous transmet qu'il faut l'éliminer. Nous verrons, à mesure que nous préciserons
le type d'information fourni par l'émotion, qu'il n'est pas rentable de manipuler sa vie
émotive. La fonction informative de l'émotion fait d'elle, au contraire, un instrument très précieux
pour nous orienter. Sentir ma tristesse me permet d'identifier ce qui me manque et de
choisir ainsi les actions appropriées pour y remédier. En ressentant mon impatience
j'identifie non seulement que je suis en train de perdre mon temps, mais aussi ce qui
est ma priorité actuelle. Assister à la joute verbale de mes deux collègues ne m'intéresse
aucunement alors que je suis coincée par une importante échéance. Sentir à fond mon
découragement m'amènera à des solutions que je n'ai jamais envisagées jusqu'à
maintenant. La peine que j'ai à l'idée qu'il pourrait me rejeter me donne l'occasion de
cerner l'importance de cette relation pour moi. Je peux ainsi en tenir compte en
m'adressant à lui.
2- Un système de communication Nous sommes ébahis par la variété des sons qui semblent servir de système d'échange
chez les cétacés. Nous devrions être médusés par l'ampleur et la sophistication du registre
émotionnel humain! Nous disposons d'une quantité phénoménale de mots et d'expressions
pour rendre compte des différentes teintes de nos joies et de nos peines. Les mots et les
autres formes d'expression de nos sentiments servent aussi à nous "dire" aux autres.
Cette musique me transporte. J'ai à coeur de remettre un travail de grande qualité.
Je tiens à obtenir ce contrat.


Les quatre genres d'expériences émotives Je distingue de toutes les autres expériences émotives, les émotions proprement dites que
j'appelle les "émotions simples". Avec celles-ci, il n'y a rien d'autre à faire que de les
ressentir. Il y a aussi ce que j'appelle les "émotions mixtes". Elles contiennent des émotions
simples, mais souvent beaucoup d'autres choses qu'il est nécessaire d'identifier pour
s'informer correctement. Ces expériences émotives doivent absolument être décomposées
en leur plus simple expression pour en extraire l'émotion et pouvoir la ressentir.
Viennent ensuite les "émotions repoussées" qui donnent lieu à des phénomènes à
dominance corporelle. Ces expériences corporelles doivent être traitées de telle façon
que l'émotion ou l'expression refoulée puissent être identifiée. Enfin, sous le vocable
de "pseudo-émotions", je présente diverses expériences qui n'ont d'émotion que
l'apparence. Il est indispensable de les traduire en émotions si on veut réellement
s'en servir pour s'informer sur notre expérience.
la suite de l'article:
http://www.redpsy.com/infopsy/genremo.html


texte perso: extrait de "VIENS, VA VERS TOI" ou approche
d'un accompagnement thérapeutique transpersonnel
écrit en juillet 1994 (partie poétique)

"te le dire?"

Je n'ai pas osé te le dire
c'était si fort , si puissant, si sacré.
Le silence seulement aurait pu,
te Le murmurer.
Mais comme je voulais Le partager!!,
alors te l'écrire, pour te Le dire
un peu...?!
que tu le reconnaisse en toi à ta façon
sans Y toucher, sans l'abimer...?!
Te l'écrire pour qu'il reste tout entier
en moi, en toi et pout toute la terre!
Oui, te le dire un peu quand même,
prendre le risque pour qu'Il grandisse en toi,
qu'Il reste pur et tout puissant parce qu'Il est cela.
Qu'Il vivifie et tout enflamme,
nous réssuscite et soit cristal.
Il vibre de moi vers toi,vers tous...
oh qu'Il guérisse , nous sanctifie, qu'Il nous transporte
vers le Très Haut et qu'Il nous comble de Plénitude.